Compagnie aime l'air

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©Sylvain Gripoix

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« Il n’y a pas de hasards, juste des rendez-vous. » Paul Eluard 

Il y a longtemps que je m’intéresse au rapport Danse – Musique. En effet, à travers des expériences avec Caroline Carlson, José Montalvo, Anne-Marie Raynaud, Elodie Sicard ou Bernardo Montet, et les différents spectacles de Anne Teresa de Keersmaeker, Angelin Prejlocaj et bien d’autres, le germe d’une création avec la danse est depuis longtemps présent.

Parallèlement, un réel intérêt pour les “performances“ de Street danse, et les différents styles du hip hop au break dancing m’interpellent.

Quelle danse et avec quelle musique ?

« Make ‘em move » est un titre qui raconte notre préoccupation de l’état du spectacle vivant dans un monde ou la “dépendance“ à l’écran et le battage médiatique d’une certaine culture de consommation encouragent l’isolement voire un chemin menant à une certaine médiocrité intellectuelle ou même une perte de curiosité et de libre choix. Attention, danger immédiat !

Léa Cazauran, chorégraphe aux multiples chemins et les danseuses.eurs de sa compagnie : Lady Rocks, sont dans ces mêmes mouvances historiques, d’où le choix de travailler ensemble à cette nouvelle création avec une dizaine d’interprètes.

Les musiciens du MegaOctet représentent à eux 9, un très large panel d’influences et de parcours musicaux allant de la culture classique au sonorités contemporaines en passant par le jazz, le rock ou autres musiques devenues “traditionnelles“. Un bonheur pour la motivation du compositeur.

Léa Cazauran et moi-même seront dans une écriture “à la carte“ pour musiciens et danseuses.eurs afin de créer ensemble un langage à l’unisson de nos envies et de celles des interprètes.

“ Make ‘em move “ qui pourrait se traduire par : “ Faut qu’ça bouge“ ( pour ne pas dire : “ bougez vous l’… “ ), est l’instantané d’une tranche de vie dans ce monde chaotique ou il serait grand temps de prendre les bons chemins pour, on l’espère, un futur meilleur pour tous.

–  Andy 

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Découvrez la demo de la répétition du 4 septembre au Studio Sextan :

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Andy Emler · Make 'em Move

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par Jacques Denis

Article publié dans Libération le 27 août 2018

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© Alexandre Ollier

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Andy Emler

 

Andy Emler naît et grandit à Paris, un enfant du rock dont il joue la musique d’oreille.

Sur les conseils de Marie-Louise Boellman-Gigout, sa professeure de piano, il tente et réussit le concours d’entrée aux classes d’écriture du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Il en sort d’ailleurs avec un prix de contrepoint.

1982, rencontre avec Antoine Hervé, avec qui il réalise son premier album Horizons pour piano et vibraphone.

Accompagnateur, improvisateur et compositeur, il parcourt le monde avec les maîtres du jazz français tels que François Jeanneau et Michel Portal, dont il sera le pianiste attitré pendant plusieurs années. Il collabore notamment avec Trilok Gurtu et noue une amitié forte et musicale avec Dave Liebman, qui perdure aujourd’hui.

En 1989, Andy Emler crée le MegaOctet, grande formation composée de virtuoses de renommée nationale et internationale. Ce laboratoire de musique vivante parcourt les scènes de France et d’Europe depuis, sans discontinuer.
Entre 1994 et 1999, il s’engage en tant que co-directeur de la Scène et Marnaise de Création Musicale, collectif à plusieurs têtes pensantes qui a créé le Putain d’Orchestre Modulaire. Le POM est une grande formation d’où émerge une nouvelle génération de musiciens prêts à tout, notamment les futurs membres du MegaOctet, Thomas de Pourquery et Médéric Collignon.

2002 le trio ETE voit le jour, avec Éric Échampard et Claude Tchamitchian, rythmique de inébranlable du Andy Emler MegaOctet, dont le dernier album est sorti en 2022 (Label La Buissonne sous la houlette de Gérard de Haro à la console).

Par ailleurs, Andy a composé la musique du spectacle Ravel, mis en scène par Anne-Marie Lazzarini, en mars 2013, d’après les textes de Jean Echenoz. À cette occasion, il a reçu le Prix du meilleur compositeur de musique de scène décerné par le syndicat de la critique en 2013.  3 Django d’or, 2 Victoires du Jazz plus tard, Andy Emler devient Chevalier des arts et des lettres en 2014.

Chaque programme proposé par Andy Emler approfondit et développe un art du plaisir collectif, un équilibre sans cesse renouvelé entre improvisation et écriture, et un autre entre direction et initiative prise par les membres de ses formations. Au fil du temps, son engagement de citoyen du monde s’affirme. En quête d’une compréhension des relations humaines dans l’intérêt d’un monde meilleur, Andy Emler s’inscrit dans cette dynamique depuis des années au sein de ses diverses formations, comme en témoigne le documentaire Zicocratie réalisé lors de la création du répertoire E total,  pour le Andy Emler MegaOctet, en 2012.

Sans cesse en mouvement, Andy Emler, compose pour différents ensembles et multiples esthétiques. Un musicien exigeant dans son art pour répandre bonté et générosité.

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© D.R.

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Léa Cazauran

 

Léa est un explosif mélange : une idée qui dépote par minute, un professionnalisme hors pair et un esprit fédérateur à toutes épreuves. Léa nous embarque, nous dynamise, nous rassure.

Elle commence par le théâtre qu’elle étudie au lycée, se forme ensuite à Kim Kan / Thony Maskot, et intègre la Meauxtown school / BBoy Thias, école de danse hip hop. Elle se spécialise en lock, puis toprock, danse très peu pratiquée par les femmes. Elle fait son nom dans les baales, et est artiste interprète pour les chorégraphes: Ousmane Baba Sy, Bouside Aït Atmane, Clémence Pavageau, Nick Power, Valentine Nagata-Ramos.

Elle dirige la compagnie Lady Rocks.

Sa capacité visionnaire et sa personnalité intrépide la diversifient : elle coache scéniquement des artistes musicaux (Tsia), de théâtre (cie Pandart), et devient directrice artistique d’évenement / de clips, speakerine d’événements.

Léa Cazauran est un juke box créatif inératable.

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Originaire du sud de la France, Julia Aka Funky-J découvre la batterie et les claquettes à 10 ans.

Passionnée de musique et de danse, elle décide à 15 ans de se tourner vers le Locking. Elle se rend alors à plusieurs reprises à Los Angeles,
berceau de cette danse, où elle est formée et prise sous l’aile des pionniers du Locking. En 2012 après avoir obtenue un diplôme de diététicienne, elle intègre la formation professionnelle pluridisciplinaire Juste Debout School dont elle sort diplômée en 2015, et ou elle devient professeur en 2016. Compétitrice, Funky-J a remporté de nombreuses compétitions internationales : Uk bboys à Londres, WDC à Tokyo. Funky-J se qualifie à sept reprises aux finales du championnat du monde Juste Debout à Bercy, et devient la première et seule femme à le remporter en Locking.

En parallèle, artiste versatile, elle est interprète dans plusieurs compagnie dont la sienne avec son spectacle BPM, mais aussi chorégraphe pour des Shows, des clips ou encore à la télévision. Funky-J est également devenue organisatrice en lançant le premier Locking Camp et Battle en France : Lock is not a Joke, rassemblant des danseurs du monde entier depuis 2015. Elle produit aujourd’hui entre 5 et 10 évènements par an en France et à l’étranger. Désireuse de pousser son art toujours plus loin, Funky-J a ouvert sa propre société de production : J9 prod. Son bagage musical, son expérience de carrière, mais aussi ces connaissances en communication digitale, font d’elle un atout majeur et polyvalent pour tout projet artistique.

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Plus communément appelé « Lino El Maestro » ou encore « Ben Johnson le Dresseur d’ours pour les intimes.
Danseur Chorégraphe Organisateur Directeur artistique Speaker Comédien Réalisateur et metteur en scène. Rodrigue est un artiste à 360° qui possède tant de casquettes à son actif qu’il en devient difficile de s’y retrouver.
Co-fondateur et ex-Leader de 1998 à 2005 du mythique crew de Breakdance Fantastik Armada. Groupe avec lequel il fut sacré Champion de France et vice – Champion de Monde en 2004 au B.O.T.Y en Allemagne. Après une formation à la Havane en 2008 et ce guidé par les plus grands.
Rodrigue LINO s’impose comme l’unes des figures les plus influentes du courant Salsa Hip Hop en France en inscrivant dans le monde de la danse Hip Hop et celui des danses latines son style unique Neosalsa qui deviendra le titre d’une des pièces cultes de sa compagnie Xtremambo.

[/et_pb_accordion_item][et_pb_accordion_item title= »Jesus Gabriel Gil Sanchez aka Blackeye » _builder_version= »4.17.4″ _module_preset= »default » body_font= »|300||||||| » global_colors_info= »{} » open= »off »]

Jesus, connu également dans le monde de la danse hip-hop sous le nom de « Bboy Blackeye », est né à Caracas, au Venezuela. Il a commencé la danse à l’âge de 10 ans, à l’occasion des fêtes de son quartier. Peu à peu la danse est devenue sa passion et son travail. Notamment le break, qu’il pratique depuis 2002, et par lequel il co-fonde les groupes Urban Tian Klan (UTK) et Aborigènes de Venezuela.
Après avoir représenté le Venezuela en Europe à travers des battle (Slovaquie, Hollande, Russie, Ukraine), il s’est installé en France en 2016. Il a intégré depuis les collectifs Guys Paris ainsi que la compagnie Xtremambo (qui fusionne la salsa et lehip-hop).

[/et_pb_accordion_item][et_pb_accordion_item title= »Maelle Dufour » _builder_version= »4.17.4″ _module_preset= »default » body_font= »|300||||||| » global_colors_info= »{} » open= »off »]

Maëlle Dufour a commencé la danse à l’âge de 5 ans à Angoulême et depuis ce jour, elle n’a jamais arrêté. Elle est entrée dans le milieu professionnel à l’âge de 18 ans dans la comédie de Cléopâtre par Kamel Ouali en tant qu’apprenti. Suite à cela elle participe à plusieurs émissions de télévision, finaliste de « Got to dance »,  « you can dance ». Elle est danseuse dans la comédie musicale de « Robin des bois » et elle est assistante chorégraphe pour « les 3 Mousquetaires ».C’est alors qu’elle a définitivement infiltrée le milieu (commerciale) de la danse, clips, artistes tels que Patrick Bruel, Mc solaar, Louane, Léon Bridge, Calogero, Bearcubs, Khaled, Mariane Alzi.
Elle a expérimenté assez jeune l’art de l’improvisation avec des danseurs hip-hop (freestyle) ce qui l’a amené à découvrir son style de danse que l’on pourrait qualifier d’hybride, entre contemporain, moderne jazz et break.
 
Elle choisit de préférence d’intégrer et de soutenir des projets artistiques axés sur une recherche chorégraphique singulière et avec un propos engagé. Elle devient soliste pour les sœurs Labèque (pianistes) dans une création contemporaine sur le thème de Roméo et Juliette. Elle danse pour l’orchestre symphonique de Dresden en Allemagne sur des chorégraphies de Yaman Okur. Elle s’enrichit et continue d’écrire seule afin d’approfondir son écriture chorégraphique puis devient,  pendant quatre ans, assistante chorégraphe pour la Cie MAM.
Elle a eu la chance de travailler à l’occasion avec Blanca Li et Benoit Swan et d’intégrer la compagnie « Mouvmatik » par Physs Almedea, et « Faces » par Nawal Bounar.

[/et_pb_accordion_item][et_pb_accordion_item title= »Lisa Dwomoh aka Melle Leeza » _builder_version= »4.17.4″ _module_preset= »default » body_font= »|300||||||| » global_colors_info= »{} » open= »off »]

Après avoir abordé la danse classique et contemporaine, elle découvre le hip hop via
le breakdance puis la Newstyle.
Artiste hybride, elle a travaillé avec Black Blanc Beur, Iffra Dia, TSN et mêle une activité d’artiste à plusieurs cordes : danse, modèle, tatoueuse et créatrice de la marque « Couturevs Tattoo ».
Elle intervient pour la formation de l’école professionnelle Révolution / Anthony Egéa.

[/et_pb_accordion_item][et_pb_accordion_item title= »Santiago Codon Gras » _builder_version= »4.17.4″ _module_preset= »default » body_font= »|300||||||| » global_colors_info= »{} » open= »off »]

Né à Buenos Aires, il quitte l’Argentine et l’Espagne pour joindre Marseille en 2003 et découvre la Danse Hip Hop là bas. Très vite attiré par la scène, il se professionnalise et se produit au sein de compagnies telles que Pietragalla-Derouault ou Par Terre. Sa rencontre avec David Colas l’aidera à affiner son style et sa spécialisation dans le breakin et ensembles, ils créeront le duo Phorm qui sera sa première expérience en tant que chorégraphe. Aujourd’hui, installé à Paris, il continue son parcourt de danseur interprète et développe sa signature chorégraphique sous la CIE D DAl.

[/et_pb_accordion_item][et_pb_accordion_item title= »Ludovic Piscioneri » _builder_version= »4.17.4″ _module_preset= »default » body_font= »|300||||||| » global_colors_info= »{} » open= »on »]

Danseur professionnel spécialisé en popping et waving, Ludovic baigne depuis toujours dans le milieu artistique avec une mère professeur de danse. A 13 ans, il rencontre Thô Anothaï et Alex Peters qui l’emmène dans l’univers de la culture hip hop.
En 2012, il se forme à la Juste Debout School à Paris, participe à des workshops et prend des cours privés aux Etats-Unis en grande partie avec Pop N Taco. Il continuera de se perfectionner en popping avec Popin Smiley et en locking avec P Lock.

Après avoir expérimenté le monde du battle, Ludovic est aujourd’hui danseur interprète dans la compagnie YZ avec les chorégraphes Bouzid Aït Atmane et Yanka Pédron (créations « R1R2-Start », « Manège », « Sleeping Water ») et danseur / assistant-chorégraphe dans la compagnie AnothaÏ (créations « Volt », « Ice Memory »).

Attiré par les métiers de la voix depuis toujours, il est aussi comédien en doublage et voix-off.

[/et_pb_accordion_item][et_pb_accordion_item title= »Virgile Garcia aka Amour » _builder_version= »4.17.4″ _module_preset= »default » body_font= »|300||||||| » global_colors_info= »{} » open= »off »]

Formé aux écoles KimKan et Meaux Town, Virgile est un danseur hip hop de Battles et de créations. Virgile développe un langage onirique et singulier grâce à sa gestuelle atypique aux influences plurielles :mime, popping, top rock ou jazz rock.
Il travaille actuellement auprès de Saïdo Lehlouh en tant qu’interprète pour la pièce Home, création 2018.

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Trompette

Créativité, Recherche, Improvisation, force du Collectif mais également Liberté, Energie, Pluridisciplinarité, Ouverture aux arts et à la diversité des cultures sont au Đœuƌ de ma démarche artistique de trompettiste et de compositeur.

Au centre de mes aventures musicales : le collectif Mâäk, fondé en 1998, développe des projets musicaux mêlant improvisation et traditions non-occidentales. Collectif polyvalent, synonyme de liberté musicale, il est le noyau d’autƌes formations : Mik Mâäk, big band atypique de 16 musiciens, Mâäk Kojo, interaction jazz-danse-transe vaudou du Bénin et de nombreuses collaborations.

Sur ce chemin de découvertes, j’ai également croisé les personnalités et ensembles suivants : Octurn, Kris Defoort, Anne Teresa De Keersmaeker, Le Gros Cube, Marc Ducret, Brussels Jazz Orchestra, Magik Malik, Dre Pallemaerts, Aka Moon, Lee Konitz, Joe Lovano, Toots Thielemans, Maria Shneider, Ghalia Benali, Mahmoud Guinéa, Mamady Keita, Baba Sissoko , Nathalie Loriers Extension, Andy Emler, Salia Sanou, …

Photo © Christophe Charpenel

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Saxophone alto

Né le 24 octobre 1960 à Alger

Prix de soliste au concours national de Paris la Défense,

A joué avec : Michel Portal, Paco Sery group, Roy Hargrove, Andy Emler, Mino Cinelu, Bernard Purdie, Glenn Ferris, Orlando Maraca Valle, Lucky Peterson, Omar Sosa, Stéphane Belmondo, Emmanuel Bex, Médéric Collignon, Electro de luxe, Reggie Washington, Antoine Hervé, François Jeanneau, Patrice Caratini, Chico Freeman, tournée Européenne Big Band Lumière avec Gil Evans, John Scofield, Orchestre National de Jazz dir. Denis Badault, Le London Symphony Orchestra…

Variété : MC Solaar, Henry Salvador (album et live), Charles Aznavour (album), Claude Nougaro (album), Michel Jonasz, Sansevérino (album), Mangu, Wally Badarou, J.Jacques Milteau… Réalise la musique de génériques radio, télé et pub (Thierry Ardisson « salut les terriens ») Anime de nombreux stages pédagogiques et master class. A enregistré sur environ 100 albums

Groupes auxquels il se consacre principalement aujourd’hui : NoJazz , Philippe Sellam trio, Andy Emler Mégaoctet.

Photo © Christophe Charpenel

[/et_pb_accordion_item][et_pb_accordion_item title= »Guillaume Orti » _builder_version= »4.18.0″ _module_preset= »default » global_colors_info= »{} » open= »off »]

Guillaume Orti

Il commence le saxophone à 11 ans. Il poursuit au Conservatoire de Région d’Avignon, musique classique, jazz et improvisation. En 1990 il passe 4 semaines de séminaire au Banff of Fine Arts au Canada sous la direction de Steve Coleman. Il fait partie du groupe Kartet dès 1989.

Travaille avec la danse, avec le texte.

Rencontre de nombreux musiciens à travers l’Europe, en Finlande et dans les pays baltes. Collabore assidûment aux projets belges d’Octurn et de Laurent Blondiau, à Benzine de Franck Vaillant en France, ou le groupe Caroline de Sarah Murcia…

Compagnon de route d’Andy Emler depuis des années, au sein du MegaOctet, au trio Emler/Sissoko/Orti et des créations diverses du compositeur. (Childhood journeys avec les Percussions de Strasbourg, du “Slam à l’Atlas…).

Musicien, compositeur et improvisateur accomplis, il a dirigé en 2012 et 2013 l’European Saxophone Ensemble réunissant 12 jeunes saxophonistes de 12 différents pays de l’Union Européenne sur un répertoire original composé par 5 compositeurs européens.

Photo © Christophe Charpenel

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Saxophone ténor, clarinette basse

1983 : 1er prix de clarinette et de solfège à l'unanimité dans la classe de Jacques Lancelot (Rouen). Musicien aux activités musicales multiples et éclectiques. Fort demandé.

Il dirige aujourd’hui, Tous Dehors, Laurent Dehors trio, un Septet “Dommage à Glenn“, la Méga Fanfare. Il joue, entre autres, avec le Andy MegaOctet, François Raulin & Stephan Oliva et le trio “Grande“.

Il a joué avec Michel Portal New Unit, Daniel Humair, Louis Sclavis, le POM, Martial Solal et bien d’autres. Nombreuses créations, concerts et résidences en France et à l’étranger.

Photo © Christophe Charpenel

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Tuba

Né en 1967, il débute la musique à Doullens dans la Somme et après ses diverses récompenses aux conservatoires d’Amiens, Lille et Roubaix, il entre au CNSM de Paris où il obtient trois 1 er prix.

Soliste dans tous les registres, improvisateur , il se tourne vers d’autres horizons: le jazz et les musiques improvisées et participe à plusieurs créations pour diverses formations.

Depuis 1988,il s’est produit dans le monde entier avec P.Boulez, L.Bowie, M.Solal, M. Legrand, B.Lubat, M. Portal, P.Caratini, L’orchestre de Paris, L’opéra de Lyon, L’orchestre de Radio France, L’ensemble Intercontemporain, L.Sclavis, Steckar Tubapack …

Il joue actuellement avec le Méga Octet d’A.Emler, Danzas de JM.Machado, Evolutiv Brass, Brass Danse Orchestra, l’Eléphant Tuba Horde et en plusieurs petites formations…

Formations avec lesquelles il enregistre plusieurs disques et se produit dans de nombreux festivals 

Auteur de plusieurs ouvrages pédagogiques, il enseigne au Conservatoire d’Amiens depuis 1995.

Il est sponsorisé par YAMAHA Music Europe.

Sa discographie compte plus de 200 CD’s, dont plus de 25 sous son nom.

Photo © Christophe Charpenel

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Percussions

Huit ans de parcours “classique“ et un premier prix de percussion (Conservatoire de Créteil 1978). Il rencontre Andy Emler dès 1978 et s’ouvre dès lors aux musiques improvisées, ce qui l’amenra à jouer avec, entre autres : Lee Konitz, Michel Edelin, Michel Portal, Randy Brecker, Bernard Lubat, l’ONJ 86 et 87, Marc Ducret etc etc… Travaille également pour la musique “contemporaine“, la danse, la chanson (Vassiliu, Nougaro…), la musique jazz orientale (Anouar Brahem, Safi Boutella, Senem Diyici…)…

Aujourd’hui il joue régulièrement avec Manu Pekar trio, Sylvain Beuf Quintet, Andy Emler MegaOctet et autres…, tout en dirigeant le Percussion quartet.

Il a tourné dans le monde entier. Martial Solal en fait une référence tant pour ses talents de percussionniste, de pianiste (1 er prix de soliste au piano, Concours de la Défense 1986) et de compositeur.

Photo © Christophe Charpenel

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Batterie

Né le 24 décembre 1970 à Bourg-en-Bresse (France)

Biographie de Stéphane Ollivier, journaliste aux « Inrockuptibles », réalisée à la demande de l’Orchestre National de Jazz 2014/2018 (dir. Olivier Benoit).

« Tout à la fois technicien hors pair, riche d’une formation classique de haut vol (il est titulaire d’un Premier Prix de percussions classique et contemporaine obtenu en 1995 au CNSM de Lyon dans la classe de François Dupin), et musicien instinctif, fondamentalement ouvert à toutes les formes de musiques populaires et expérimentales actuelles (du jazz moderne dans tous ses états au rock en passant par l’infini dégradé des musiques improvisées), Eric Echampard fait partie de ces quelques personnalités atypiques qui au cours des quinze dernières années ont profondément renouvelé l’art de la batterie dans le champ du jazz européen contemporain.

Repéré simultanément par Bernard Struber qui l’intègre en 1992 à l’ORJA (groupe dont il fait toujours partie et rebaptisé depuis Jazztet) et par Jacques Di Donato qui l’année suivante lui offre la place de batteur dans son quintet et son grand ensemble Système Friche, Eric Echampard va très vite s’imposer comme l’interlocuteur privilégié des musiciens les plus novateurs de la scène hexagonale, intégrant coup sur coup le trio de François Corneloup, celui de Marc Ducret (avec Bruno Chevillon), le Grand Lousadzak de Claude Tchamitchian ou encore le MegaOctet d’Andy Emler…

Sollicité par tout ce que la scène européenne compte de musiciens “historiques” (Michel Portal, Louis Sclavis, François Jeanneau), Eric Echampard va au fil des années approfondir ses relations au long cours avec Marc Ducret et Andy Emler (il fait également partie de son trio avec Tchamitchian), débuter de nouvelles collaborations (Dave Liebman, Benjamin Moussay, Christophe Monniot, Fabrice Martinez, Yvan Robilliard, Florent Pujuila, Vincent David) et s’ouvrir à quelques horizons inédits en s’aventurant du côté de l’improvisation libre en duo avec l’accordéoniste finlandais Kimmo Pohjonen ou de projets plus hybrides aux confins du rock et de la musique contemporaine avec le groupe Caravaggio aux côtés de Bruno Chevillon, et des compositeurs Benjamin de La Fuente et Samuel Sighicelli. »

Photo © Christophe Charpenel

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Contrebasse

Né à Paris, il étudie la contrebasse au

Conservatoire d’Avignon, primé en 1987.

En 1994, il fonde Émouvance, label discographique et structure, de production basé à Marseille qui s’attache à̀ soutenir et promouvoir le travail de musiciens issus du monde des musiques afro-américaines et du croisement de celles-ci avec les musiques vivantes écrites et improvisées principalement européennes. Le catalogue d’Émouvance compte à̀ ce jour 45 références.

Il est le compositeur et le leader des ensembles Lousadzak, Amarco trio, Ways Out quintet, Poetic Power trio, Naïri trio et se produit régulièrement en solo. Il effectue un travail de recherche et développe une technique inédite sur la contrebasse dont son dernier disque en solo « In Spirit » en est l’illustration (cd Emv 1040 – Éditions Oenso, Musicale Écriture).

Il est membre du Mégaoctet et du trio d’Andy Emler, de Quest of the Invisible et de Healing Rituals de Naïssam Jalal, des orchestres The Ellipse et Métamorphoses de Régis Huby, Open Land en quartet de Bruno Angelini, l’Ogre Intact, quartet de Pierrick Hardy …).

Depuis plus de 30 ans, Claude Tchamitchian travaille dans différents domaines artistiques et crée des musiques
originales pour la danse et le théâtre. Il est régulièrement sollicité dans des projets pédagogiques pour des
publics très divers, amateurs ou professionnels. En 2012, il crée à Marseille le festival Les Émouvantes, un rendez- vous thématique musical annuel.

Photo © Christophe Charpenel

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Compagnie Lady Rocks

 

Lady Rocks est créé par Léa Cazauran en 2012 avec la volonté de mettre le top rock une des danses hip hop sur scène, et rendre visible les femmes de cette discipline.
 
A la fois crew et compagnie en danse hip hop, les membres sont visibles à la fois sur scène (La Villette, Opéra de Massy, Opéra Bastille, Hôtel de Ville), dans le milieu des battles internationaux (Red Bull dance camp, Hip Hop session, Juste Debout).
 
Lady Rocks défend un projet d’ouverture sur la danse à 360° au sein d’espaces pluriels et complémentaires : créations, shows, battle, actions culturelles, formations. Si Lady Rocks entièrement féminin a été au départ une nécessité pour émanciper et faire reconnaître une gestuelle peu visible, Léa refuse les dérives d’un féminisme sectaire et allie progressivement des danseurs à sa direction artistique.
 
Des 4 artistes à la genèse jusqu’à la quinzaine aujourd’hui, la compagnie donne à voir que la femme déchire. Et c’est pas prêt de bouger !
 

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© Fluir

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PRODUCTION

 

La Compagnie aime l’air : cieaimelair@andyemler.eu
En partenariat avec la compagnie Lady Rocks

LIEUX DE RESIDENCE

 

Studio Sextan – Malakoff (92)
Mains d’oeuvres – Saint-Ouen (93)
Le CND – Pantin (93)
La Halle aux Cuirs – La Villette – Paris (75)
Le Triton  – Les Lilas (93)
Le Pavillon – Romainville (93)
La Chaufferie – Cie DCA – Philippe Découflé  – Saint-Denis (93)

CDBM – Perreux-sur-marne (94) 

 

EQUIPE DE CREATION

 

Equipe artistique

Andy Emler : compositions et piano
Léa Cazauran : Chorégraphie, danse

Le MegaOctet

Andy Emler : piano compositions
Claude Tchamitchian : contrebasse
Eric Echampard : batterie
François Verly : percussions
Guillaume Orti : saxophone alto
Laurent Blondiau : trompette et bugle
François Thuillier : Tuba
Philippe Sellam : saxophone alto
Laurent Dehors : saxophones, cornemuse.

Lady Rocks

Léa Cazauran
Julia Ortola aka Funky J
Rodrigue Lino
Jesus Gabriel Gil Sanchez aka Blackeye
Maelle Dufour
Lisa Dwomoh aka Melle Leeza
Santiago Codon Gras
Ludovic Piscioneri
Virgile Garcia aka Amour

Equipe Technique

Vincent Mahey :  Ingénieur du son
Marine Stroeher : Création Lumières

Camille Janodet : Coordination, administration – cieaimelair@andyemler.eu – 06 32 68 43 84

Estelle Contamin : Chargé de production – production@andyemler.eu

Make ‘Em Move a été soutenu par la compagnie DCA à Saint-Denis, la SACEM, SPEDIDAM et l’ADAMI. La Compagnie aime l’air est conventionnée par la DRAC Ile-de-France, la Région Ile-de-France et le Conseil Départemental du Val-de-Marne.

 

 

 

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La Compagnie aime l’air

Camille Janodet (France) · cieaimelair@andyemler.eu

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